Suisse, France, Espagne, Brésil, et plus dernièrement Mexique. Kalinda ne pouvait plus restée bien longtemps au même endroit. Les risques d’être retrouvée par le gouvernement étaient trop grands si elle s’éternisait. Elle avait tout laissé en Italie de toute manière, et n’avait aucune attache dans les pays où elle passait.
Et depuis quelques jours, elle sentait que quelque chose clochait. Se sentait surveillée. Il était temps de mettre les voiles. Elle avait bouclé ses valises et pris le premier train qu’elle avait trouvé, le soir-même. Ce n’est qu’en y entrant qu’elle a remarqué qu’il n’y avait personne, comprenant le piège dans lequel elle venait de tomber.
La lame froide d’un poignard était appuyé contre sa joue, sans qu’elle n’ait pu entendre son assaillant arrivé. Un professionnel, hein.. La seringue qu’on lui administra dans le cou confirma ce qu’elle craignait. Et merde, la CIA l’avait retrouvée.
Quand elle rouvrit les yeux, elle n’était plus dans le wagon désert.. à vrai dire il était difficile de deviner où elle était puisqu’elle n’y voyait rien. Elle sentait parfaitement les menottes qui la retenait à une chaise en revanche. L’endroit était silencieux jusqu’à ce que la porte ne soit ouverte et que des voix firent interruption dans la pièce. Deux hommes parlaient en espagnol, qu’elle comprenait par bribes étant donné qu’il s’agit de la langue maternelle de son mari. Ce qu’elle comprenait de leurs paroles la renseignait un peu sur l’endroit où elle se trouvait : une salle d’interrogatoire. Le bruissement d’une chaise qu’on recule la fit relever la tête devant elle, et une voix, féminine cette fois-ci, qui s’exprima en anglais, ordonnant qu’on lui enlève le sac qu’elle avait sur la tête.
Recouvrant enfin la vue, elle pu découvrir le visage de celle qui semblait être la cheffe de cette petite troupe. Mais ce fût la personne derrière elle qui attira son regard. Qu’est-ce que… ?! Que faisait-il ici ?!
Et depuis quelques jours, elle sentait que quelque chose clochait. Se sentait surveillée. Il était temps de mettre les voiles. Elle avait bouclé ses valises et pris le premier train qu’elle avait trouvé, le soir-même. Ce n’est qu’en y entrant qu’elle a remarqué qu’il n’y avait personne, comprenant le piège dans lequel elle venait de tomber.
La lame froide d’un poignard était appuyé contre sa joue, sans qu’elle n’ait pu entendre son assaillant arrivé. Un professionnel, hein.. La seringue qu’on lui administra dans le cou confirma ce qu’elle craignait. Et merde, la CIA l’avait retrouvée.
Quand elle rouvrit les yeux, elle n’était plus dans le wagon désert.. à vrai dire il était difficile de deviner où elle était puisqu’elle n’y voyait rien. Elle sentait parfaitement les menottes qui la retenait à une chaise en revanche. L’endroit était silencieux jusqu’à ce que la porte ne soit ouverte et que des voix firent interruption dans la pièce. Deux hommes parlaient en espagnol, qu’elle comprenait par bribes étant donné qu’il s’agit de la langue maternelle de son mari. Ce qu’elle comprenait de leurs paroles la renseignait un peu sur l’endroit où elle se trouvait : une salle d’interrogatoire. Le bruissement d’une chaise qu’on recule la fit relever la tête devant elle, et une voix, féminine cette fois-ci, qui s’exprima en anglais, ordonnant qu’on lui enlève le sac qu’elle avait sur la tête.
Recouvrant enfin la vue, elle pu découvrir le visage de celle qui semblait être la cheffe de cette petite troupe. Mais ce fût la personne derrière elle qui attira son regard. Qu’est-ce que… ?! Que faisait-il ici ?!